Longtemps dans le viseur du pouvoir central, les géants technologiques chinois retrouvent de l’influence. Alibaba, Tencent et
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Le géant du commerce en ligne souhaite notamment réduire les coûts en pleine course aux investissements dans l’intelligence artificielle.
Éva Craine
mar. 28 octobre 2025 à 6:00 AM UTC+1
Amazon va entamer ce mardi 28 octobre le licenciement sur plusieurs mois d’un total de 30 000 salariés de ses bureaux à travers le monde.
WOLF VON DEWITZ / dpa Picture-Alliance via AFP Amazon va entamer ce mardi 28 octobre le licenciement sur plusieurs mois d’un total de 30 000 salariés de ses bureaux à travers le monde.
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INTERNATIONAL - Les premiers courriers annonçant les départs sont attendus dès ce mardi 28 octobre. Amazon va entamer le licenciement sur plusieurs mois d’un total de 30 000 salariés de ses bureaux à travers le monde, rapportent plusieurs médias américains. Cette annonce s’inscrit dans la volonté affichée de son patron Andy Jassy de réduire les coûts en pleine course aux investissements dans l’intelligence artificielle.
Ces suppressions, qui visent des fonctions supports ou stratégiques (ressources humaines, publicité, cadres, etc.), représentent près de 10 % des 350 000 postes de bureaux du géant américain du commerce en ligne, mais ne concernent pas la main-d’œuvre des entrepôts, qui représentent la majorité des plus de 1,5 million de salariés d’Amazon.
Qu’est-ce que la superintelligence artificielle, qui fait peur même aux experts de l’IA ?
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Le groupe de Seattle n’a pas confirmé publiquement ces informations, rapportées par des sources anonymes citées par Reuters, le Wall Street Journal ou encore le New York Times, à trois jours de la publication de ses résultats trimestriels.
Marché du travail tendu, guerre commerciale de Trump...
Les médias américains invoquent différentes motivations à cette vague de licenciements, la plus importante depuis les 27 000 suppressions de postes de l’hiver 2022-2023 : corriger le tir après les fortes embauches de la pandémie de Covid-19.
Le nombre total de suppressions n’est toutefois pas encore définitif, selon une source anonyme citée par le New York Times.
En juin, le directeur général d’Amazon, Andy Jassy, avait explicitement annoncé que le développement de l’IA générative allait, « dans les prochaines années (...) réduire nos effectifs de bureaux ».
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« La hausse des prix, un marché du travail plus tendu et les aléas de la guerre commerciale menée par le président Trump ont poussé les chefs d’entreprise à chercher des moyens de se serrer la ceinture sans nuire à la croissance », analyse le Wall Street Journal.
Suppressions d’emplois chez les cols blancs chez d’autres géants
Les interrogations sur l’avenir des ouvriers de l’entreprise, 2e employeur aux États-Unis avec 1,2 million de salariés, se posent aussi dans les entrepôts, où Amazon accélère l’automatisation grâce aux robots et à l’IA.
Selon le New York Times, Amazon pourrait renoncer à plus de 160 000 embauches d’ici 2027, malgré la hausse attendue de la demande de livraisons des consommateurs.
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D’importantes suppressions d’emplois chez les cols blancs ont aussi lieu chez d’autres géants américains de la tech. Microsoft a annoncé en juillet porter son plan de réduction à 15 000 départs prévus. Meta a renvoyé mercredi quelque 600 personnes de sa division IA, après une importante campagne de recrutement.
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Le PDG de Microsoft a licencié plus de 15 000 employés en 2025 et va savourer une augmentation de salaire de près de 20 millions de dollars
Dans ce monde, il y a une chose de sûre, qui ne changera jamais : les riches restent riches. La preuve, après avoir causé le malheur de milliers d'employés en organisant de nombreuses vagues de licenciements, le PDG de Microsoft va bénéficier d'une grosse augmentation de salaire.
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sam. 25 octobre 2025 à 5:15 PM UTC+2
Microsoft revient d'une année difficile marquée par de nombreux licenciements. Pour autant, il y en a un qui continue de garder le sourire : son PDG, Satya Nadella. La raison ? Entre les économies réalisées et le bon de certaines activités, sa rémunération va grimper en flèche.
Le PDG de Microsoft double son salaire en deux ans
Que sait-on du salaire du PDG ? Comme le rapporte cnbc.com, le PDG de Microsoft, Satya Nadella, peut dès à présent s'attendre à un salaire annuel princier, qui devrait être nettement supérieur à celui de l'année dernière.
Selon le dossier déposé par Microsoft auprès de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (sur sec.gov), la rémunération totale de Nadella pour l'exercice 2025 devrait s'élever à 96,5 millions de dollars.
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À titre de comparaison, elle n'était "que" de 79,1 millions de dollars en 2024 et de 48,5 millions de dollars en 2023. Ah, si seulement les revenus de tous les employés pouvaient (presque) doubler d'une telle façon en deux ans…
Des actions en hausse = plus de millions pour le patron de Microsoft
De quoi se compose le salaire du PDG ? Il se compose apparemment de plus de 84 millions de dollars de primes en actions et de plus de 9,5 millions de dollars d'intéressement en espèces. Autrement dit, sa rémunération étant largement liée à la valeur de...
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AFP
Amazon lance la suppression de quelque 30.000 postes de bureau (médias)
AFP
mar. 28 octobre 2025 à 1:35 AM UTC+1
Le logo d'Amazon devant un supermarché de l'entreprise à Torrance, en Californie, le 29 juillet 2025 (Patrick T. Fallon)
Le logo d'Amazon devant un supermarché de l'entreprise à Torrance, en Californie, le 29 juillet 2025 (Patrick T. Fallon)
Amazon va entamer mardi le licenciement sur plusieurs mois d'un total de 30.000 salariés de ses bureaux à travers le monde, rapportent lundi plusieurs médias américains, concrétisant la volonté affichée de son patron Andy Jassy de réduire les coûts en pleine course aux investissements dans l'intelligence artificielle.
Ces suppressions, qui visent des fonctions supports ou stratégiques (ressources humaines, publicité, cadres, etc), représentent près de 10% des 350.000 postes de bureaux du géant américain du commerce en ligne, mais ne concernent pas la main d'oeuvre des entrepôts, qui représentent la majorité des plus de 1,5 million de salariés d'Amazon.
Le groupe de Seattle n'a pas confirmé publiquement ces informations, rapportées par des sources anonymes citées par Reuters, le Wall Street Journal ou encore le New York Times, à trois jours de la publication de ses résultats trimestriels.
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Les médias américains invoquent différentes motivations à cette vague de licenciements, la plus importante depuis les 27.000 suppressions de postes de l'hiver 2022-2023: corriger le tir après les fortes embauches de la pandémie de Covid-19.
Les premiers courriers de licenciement sont attendus dès mardi, selon les médias américains, tandis que d'autres partiront en janvier, après le pic d'activité des fêtes de fin d'année.
Le nombre total de suppressions n'est toutefois pas encore définitif, selon une source anonyme citée par le New York Times.
En juin, le directeur général d'Amazon, Andy Jassy, avait explicitement annoncé que le développement de l'IA générative allait, "dans les prochaines années (...) réduire nos effectifs de bureaux".
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"La hausse des prix, un marché du travail plus tendu et les aléas de la guerre commerciale menée par le président Trump ont poussé les chefs d'entreprise à chercher des moyens de se serrer la ceinture sans nuire à la croissance", analyse le Wall Street Journal.
Les interrogations sur l'avenir des ouvriers de l'entreprise, 2e employeur aux Etats-Unis avec 1,2 million de salariés, se pose aussi dans les entrepôts, où Amazon accélère l'automatisation grâce aux robots et à l'IA.
Selon le New York Times, Amazon pourrait renoncer à plus de 160.000 embauches d'ici 2027, malgré la hausse attendue de la demande de livraisons des consommateurs.
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D'importantes suppressions d'emplois chez les cols-blancs ont aussi lieu chez d'autres géants américains de la tech. Microsoft a annoncé en juillet porter son plan de réduction à 15.000 départs prévus. Meta a renvoyé mercredi quelque 600 personnes de sa division IA, après une importante campagne de recrutement.
bl/ube